Chez acti, nous gérons 30 à 40 projets digitaux en parallèle de la stratégie à la réalisation. Et pourtant nos murs ne sont pas recouverts de post’it.
Nous vous proposons un tour d’horizon des mécaniques qui nous permettent d’être agiles sans appliquer à la lettre tous les préceptes de l’agilité.
La majorité de nos projets sont gérés suivant un cycle en V. Un pilote de projet coordonne les activités et met en place un contexte de travail propice à la productivité. Les salariés se voient ainsi dégagés de certaines contraintes d’organisation personnelle au profit de leur efficacité professionnelle.
Chaque lundi nous procédons à une revue globale du planning afin de prioriser les tâches de l’équipe.
Nos clients ne peuvent pas dégager le temps nécessaire à la gestion de projet en mode agile.
Les dérives possibles des méthodes agiles :
– décalage budgétaire avec sur-facturation à la clé.
– dominance des orientations des équipes de développement en lieu et place des mécaniques business.
Notre approche de l’agilité porte sur :
Une équipe flexible, disposant d’une large autonomie et d’une souplesse intellectuelle.
Une organisation plastique, doublée d’une capacité d’innovation méthodologique permanente.
Focus sur le mode war room : l’efficacité des salariés sur certaines tranches horaires tout comme leur manque de vélocité dans d’autres tranches n’est plus à démontrer. Chez acti nous accordons à nos salariés une flexibilité horaire qui leur autorise de travailler dans les périodes les plus favorables à leur vélocité.
Des locaux et matériels adaptés : l’équipe de production est située dans un open space propice aux échanges entre chaque acteur pour un résultat optimal. Les configurations de travail sont constituées de PC puissants équipés de 3 écrans, et renouvelé tous les 2 ans.
Quelques exemples d’application de bonne pratique d’agilité :
Le projet Musiwave conduit en méthode scrum avec des sprints successifs de 15 j
Xtrem Programing : dans le cadre d’un projet technique, nous avons associé 2 développeur pour coder suivant les principes de la norme d’eXtreme Programing pour un résultat de code optimal.
Projet Matrix, Groupe L’Oréal. Ou comment le kidnapping du directeur marketing de la marque nous a permis de produire le projet en 4 semaines pour sa mise en ligne imposée par le MCB (« Mondial Coiffure Beauté).